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Défi 70 : l’étoile qui file

Défi 70 : l’étoile qui file

 

Défi n° 70 : écrire sur le thème : « l’étoile»

défi proposé toutes les semaines par Evy

Pour ce défi, j’ai décidé de reprendre un poème qui me tient particulièrement à cœur. Il introduit mon premier roman Entre Père et Fils. Ado, j’ai passé de longues minutes à regarder les étoiles en pensant à ceux qui me manquaient. Ce poème est né de ces moments de solitude.

Défi 70 : l’étoile qui file

Si tous les soirs de beau temps,

Tu consacrais rien qu’un peu de ton temps,
Pour t’asseoir dans un coin de ton jardin.

 

Si retiré des humains,

Tu restais ici sans faire de bruit,

Pour observer les beautés de la nuit.

 

Si pareil aux soirs d’été,

Tu admirais les étoiles scintiller,

Pour espérer en voir une qui file.

 

Si comme sur une île,
Tu évoquais tes moments préférés,

Pour penser à tes amis éloignés.

Si à cet instant précis,

Je comprenais que tu manques à ma vie,

Alors nos pensées seraient réunies.

Ce texte a donc été remis pour le défi de Evy.

Je vous dis donc à la semaine prochaine (samedi normalement) pour un nouveau défi. Nouveau thème : les nuages. A vous de plancher pour la semaine prochaine.

 

Participations de Chaton pour ce défi 70 :

Loin de la ville
Comme égaré sur une île,
Seul dans la nuit
Sans faire aucun bruit,
Je te regarde scintillée
Petite étoile d’un soir d’été.

Tu es là au milieu de cette immense voie,
Seul point du ciel que je vois.
Dans mon cœur tu t’es installée,
Les yeux fermés, je ne vois que toi,
Je te sens profondément encrée en moi,
Petite étoile si éloignées.

———————————————-

Petite étoile d’un soir d’été,
Je ne sais comment te nommer.
Comme une perle précieuse
Je t’appelle « ma gracieuse ».
Vers toi reste tendu mon regard,
Et je te dis sans retard :
Quel est ton nom ?
Dis-moi, au moins ton prénom.
De l’immensité du ciel, tu es ma préféré
Petite étoile d’un soir d’été,

Cheminant sur le sentier,
Au sommet, que d’églantiers !
La nuit sombre, je l’attends,
Seul au sommet, ce sera épatant.
Au dessus de moi, un ciel tout étoilé,
Qu’aucun nuage ne vient voiler.
Du fond de la voie lactée,
Avec une belle netteté,
Petite étoile tu apparais,
Mais tu restes bien éloignée.
Les yeux fixés sur toi, je suis éberlué
Petite étoile d’un soir d’été.

————————————————

Seul, sur une route bien sombre,
Je ne vois rien dans la pénombre.
Mes filles parties faire leur vie
Je n’ai qu’une envie,
Sortir de ce trou noir,
qui m’envahit le soir.
De l’ombre peut jaillir la lumière,
Pour envahir ma vie entière.
Pour l’instant, que de malheurs,
tombés sur moi en quelques heures.
Pourquoi serais-tu rester fidèle,
Quand autour de toi, tout t’appelle ?
Pourquoi tant d’écrasements
Pour chuter un homme d’épuisements.
Un simple regard bienveillant,
Un visage charmant,
Qu’elle s’appelle Christine ou Marie,
De moi s’échappera toute maladie.
Y-a-t-il dans le ciel une étoile qui brille ?
Etoile de la nuit ou étoile du jour,
Je t’attend du fond de ma cour,
Comme un soleil d’été,
Tu peux devenir, sans être capricieuse,
Celle qui deviendra perle précieuse.

(mai 1997)

——————————————————–

Etoile de la nuit, file, file,
Tu es devenu mon idylle.
File, file, étoile de la nuit,
tu suit ta route sans bruit.
Une pointe de lumière, je la vois
Avec elle, tu traces ta voie.

9 réflexions au sujet de « Défi 70 : l’étoile qui file »

  1. Oui il m’arrive en été, quant la nuit est tombée de prendre ce temps à la fraîche et de les compter… les nuages, ah bon, je n’ai pas encore vu chez Evy…

  2. Bonjour Sevy belle hommage en souvenirs mon père me manque aussi je le cherche dans les étoiles passe une bonne journée merci pour ta participation et le relais des défis douce journée bisous Evy

  3. Un bien beau poème… Il me fait penser à mon père qui me manque à tous les jours…

  4. Loin de la ville
    Comme égaré sur une île,
    Seul dans la nuit
    Sans faire aucun bruit,
    Je te regarde scintillée
    Petite étoile d’un soir d’été.

    Tu es là au milieu de cette immense voie,
    Seul point du ciel que je vois.
    Dans mon cœur tu t’es installée,
    Les yeux fermés, je ne vois que toi,
    Je te sens profondément encrée en moi,
    Petite étoile si éloignées.

  5. Petite étoile d’un soir d’été,
    Je ne sais comment te nommer.
    Comme une perle précieuse
    Je t’appelle “ma gracieuse”.
    Vers toi reste tendu mon regard,
    Et je te dis sans retard :
    Quel est ton nom ?
    Avec toi j’aimerai construire une belle union.
    De l’immensité du ciel, tu es ma préféré
    Petite étoile d’un soir d’été,

  6. Petite étoile d’un soir d’été,
    Je ne sais comment te nommer.
    Comme une perle précieuse
    Je t’appelle « ma gracieuse ».
    Vers toi reste tendu mon regard,
    Et je te dis sans retard :
    Quel est ton nom ?
    Dis-moi, au moins ton prénom.
    De l’immensité du ciel, tu es ma préféré
    Petite étoile d’un soir d’été,

    Cheminant sur le sentier,
    Au sommet, que d’églantiers !
    La nuit sombre, je l’attends,
    Seul au sommet, ce sera épatant.
    Au dessus de moi, un ciel tout étoilé,
    Qu’aucun nuage ne vient voiler.
    Du fond de la voie lactée,
    Avec une belle netteté,
    Petite étoile tu apparais,
    Mais tu restes bien éloignée.
    Les yeux fixés sur toi, je suis éberlué
    Petite étoile d’un soir d’été.

  7. Seul, sur une route bien sombre,
    Je ne vois rien dans la pénombre.
    Mes filles parties faire leur vie
    Je n’ai qu’une envie,
    Sortir de ce trou noir,
    qui m’envahit le soir.
    De l’ombre peut jaillir la lumière,
    Pour envahir ma vie entière.
    Pour l’instant, que de malheurs,
    tombés sur moi en quelques heures.
    Pourquoi serais-tu rester fidèle,
    Quand autour de toi, tout t’appelle ?
    Pourquoi tant d’écrasements
    Pour chuter un homme d’épuisements.
    Un simple regard bienveillant,
    Un visage charmant,
    Qu’elle s’appelle Christine ou Marie,
    De moi s’échappera toute maladie.
    Y-a-t-il dans le ciel une étoile qui brille ?
    Etoile de la nuit ou étoile du jour,
    Je t’attend du fond de ma cour,
    Comme un soleil d’été,
    Tu peux devenir, sans être capricieuse,
    Celle qui deviendra perle précieuse.

    (mai 1997)

  8. Etoile de la nuit, file, file,
    Tu es devenu mon idylle.
    File, file, étoile de la nuit,
    tu suit ta route sans bruit.
    Une pointe de lumière, je la vois
    Avec elle, tu traces ta voie.

  9. Bravo pour le défi
    J’ai bien aimé te lire
    @ bientôt

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