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Demain quand j’étais mort de Eddard Mingwe

Demain quand

Demain quand j’étais mort de Eddard Mingwe


Résumé de Demain quand j’étais mort :

Connecticut-Sur-Maine. Pandémick Rivers. Notre époque. Alors que la tant attendue saison de la chasse aux touristes est enfin ouverte et que la traditionnelle fête de la tartine humaine bat son plein, une météorite s’écrase près d’un insolite village peuplé de fermiers consanguins et anthropophages, libérant de mystérieuses spores visqueuses et particulièrement voraces. Après la contamination de la plus grosse unité locale de production et d’exportation de cuisses de grenouilles surgelées, d’étranges cas de mutation vont être simultanément répertoriés à différents endroits du globe. Le chaos s’installe, la menace se répand. Bientôt des événements aussi cocasses qu’atroces vont s’enchaîner et nous mener droit à l’apocalypse la plus horrible et stupide jamais imaginée… Au menu de cette zombédie tragique : une pandémie, des morts-vivants, des retraités fous furieux, quelques politiciens véreux, des recettes culinaires cannibales de fin du monde, et bien entendu, un soupçon de romantisme et de magnifiques histoires d’amour…

Mon avis :

Je ne suis normalement pas fan de ce genre de littérature, alors, me direz-vous, pourquoi avoir lu ce livre ? D’abord, parce que via les réseaux sociaux, je commence à bien connaitre l’auteur. Deuxièmement parce que j’ai lu son premier livre Souriez vous êtes viré qui m’avait tellement fait rire que j’étais curieuse de savoir ce que nous réservait l’auteur cette fois-ci.

Alors, si je n’avais pas autant ri avec le premier, je ne sais pas si j’aurais poursuivi ma lecture. Et j’aurais eu tort de m’arrêter à cet aspect peu ragoutant. Car derrière ces descriptions peu sympathiques, à ne pas lire juste après un repas, il faut avouer que l’auteur sait prendre en dérision tous les aspects de notre société. Et là, je lui tire mon chapeau. Tout y est, depuis les dernières élections aux États Unis, jusqu’aux problèmes de couples, en passant par l’écologie et la politique (et j’en passe). L’auteur arrive dans un texte délirant à nous montrer l’absurdité de certaines de nos façons de vivre. Et je dois avouer que j’ai réussi à rire au milieu de ces horreurs décrites. J’ose à peine imaginer la tête des gens qui ont pu me voir réagir à ma lecture lorsque j’attendais dans des salles d’attente ! (Merci Eddard !)

Petit mot pour l’auteur :

Lors d’un diner (eh oui), j’ai discuté de ma lecture avec un jeune de 16 ans qui venait de rire de la tête de veau que mangeait mon voisin et qui écœurait la maman du jeune. Il faisait une telle description du plat, que je n’ai pu m’empêcher de faire le parallèle avec ce livre.

Moi : ça me rappelle le livre que je viens de lire, Demain quand j’étais mort.

Le jeune : déjà, l’auteur, il a fait une faute de temps.

Moi : je raconte l’épisode du pauvre Chinchilou (je n’en dis pas plus).

Le jeune : ton auteur, il a trop fumé ! (Ou trop bu, je ne suis pas sûre mais le résultat me parait le même !)

Voilà, Eddard, tu en fais ce que tu veux, désolée, je crois que je t’ai fait rater une vente, pourtant, j’ai essayé ! 😀 )

 

 

4 réflexions au sujet de « Demain quand j’étais mort de Eddard Mingwe »

  1. Ah déjà la couverture et ensuite l’histoire, je félicite son auteur plien d’imagination !!! 😉

  2. Un livre qui me parait déjanté Séverine. Merci de cette présentation.
    Bises et bon mardi.

  3. Bonne fêtes de fin d’année Sev !!

  4. un livre loufoque (sans doute pas tant que ça) me semble un bon dérivatif à la morosité je note Bisous

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