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Nouvelocratie 2 : Marie de Entre Père et Fils

Nouvelocratie 2 : Marie de Entre Père et Fils

Nouvelocratie 2 : Marie de Entre Père et Fils

Nouvelocratie 2 : Marie de Entre Père et Fils

Je reviens sur le recueil qui renferme une de mes nouvelles.

Je l’avais mis dans Ma coupe du monde des livres , mais je ne l’avais pas reçu à temps.

J’ai enfin pu m’y plonger.

Je l’ai lu mais je suis un peu déçue par rapport à mon idée de ce qu’est une nouvelle, mon idée, enfin ce qu’on en dit :

 

Une définition possible de la nouvelle par la mairie d’Anzin-Saint-Aubin :

Ecrit court et intense se caractérisant par une intrigue simple, une action resserrée autour de quelques personnages, et qui se conclut généralement par une chute originale ou déroutante respectant cependant la cohérence du récit

 

Sur Wikipédia

Une nouvelle est un récit court. Apparu à la fin du Moyen Âge, ce genre littéraire était alors proche du roman et d’inspiration réaliste, se distinguant peu du conte. À partir du XIXe siècle, les auteurs ont progressivement développé d’autres possibilités du genre, en s’appuyant sur la concentration de l’histoire pour renforcer l’effet de celle-ci sur le lecteur, par exemple par un dénouement surprenant. Les thèmes se sont également élargis : la nouvelle est devenue une forme privilégiée de la littérature fantastique, policière, et de science-fiction.

 

Sur Nouvelles d’ici ou d’ailleurs

– Le texte n’est ni une légende, ni un conte, ni un roman réduit : il s’agit bien d’une nouvelle, d’un récit, d’une histoire courte qui se suffît à elle-même.

– Le thème (libre ou imposé) est original et bien exploité.

– Le titre est adéquat et ajoute du sens à l’intrigue sans en dévoiler la teneur.

– L’action démarre rapidement : les premières phrases accrochent le lecteur.

– Les étapes du récit sont présentes : situation initiale, élément déclencheur/perturbateur, développement et chute finale.

– L’histoire ne s’étend pas sur une vie, ni même des années : la durée de l’action s’étale sur un laps de temps assez court (sauf utilisation de flash back).

– Les personnages sont crédibles (sauf dans le cas d’un récit fantastique) ; ils ont des traits de caractère vraisemblables décrits avec justesse, mais seulement ceux essentiels au récit.

– Le rythme du récit est rapide et concis, sans de trop longs développements psychologiques et philosophiques.

– La chute – ouverte ou fermée – est imprévisible, surprenante, pertinente, cohérente.

– L intérêt du lecteur est attisé par des amorces et des indices susceptibles- d’annoncer la chute, et même par des fausses pistes.

 

Je ne vais pas copier coller tout le net, mais j’ai lu trop de textes qui ne sont pas en accord avec ces définitions. Ce qui n’empêche que certains textes étaient très bien écrits et m’ont même beaucoup plu. Un seul m’a ennuyée. Mais je trouve dommage de ne pas avoir été surprise par les fins d’histoire quand il y en avait !

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