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La souffrance, le mal-être dans l’auto-édition

La souffrance, le mal-être dans l’auto-édition

Un sujet parfois difficile à lire surtout s’il s’agit d’une autobiographie. Parfois, c’est une façon pour les auteurs de faire sortir ce qui  les ronge, ou pour essayer d’aider ceux qui pourraient vivre la même chose. Entre réel et fiction, une petite sélection de ce que j’ai pu lire, ou écrire.

La souffrance, le mal-être dans l’auto-édition

la clé du bonheur

La clé du bonheur : une jeune femme confrontée à son passé qui revient la hanter.

Le bonheur ? Qui est-il ? Comment le trouver ? Est-on sûr de l’avoir atteint ?
Virginie, jeune bibliothécaire, a pour seule passion de tenir compagnie aux vieilles dames de son village, six compagnonnes qu’elle rejoint tous les soirs.
Pourtant, une rencontre va perturber cet équilibre qu’elle croit être son bonheur.
Pourquoi l’oblige-t-on à remettre toute sa vie en question ?

 

 

 

L’innocence d’un enfant : un autre roman qui fait ressurgir un passé douloureux

a grandi en France.
Entourée de l’amour de ses parents adoptifs, elle a réussi de brillantes études de médecine.
Le hasard d’une rencontre fait ressurgir de biens sombres souvenirs.
Émilie trouvera la voie, qui la ramènera vers ses douces îles du Pacifique.

 

 

 

 

Mon amie la douleurMon amie la douleur : une réalité dure à vivre.

Une opération bénigne au bas ventre en 2011 et le château de cartes s’écroule.

Valérie, chef d’entreprise, est admise en maison de santé en novembre 2015, après 5 ans de souffrance. Avec un ton juste et sincère, elle dresse un portrait sévère du monde des chirurgiens. « Sur une échelle de 1 à 10, à combien situez-vous votre douleur? ». Elle dit 1000, on lui répond « tout est normal ! ». Elle préférerait qu’on lui découvre une maladie rare pour qu’enfin on la prenne au sérieux et que ses douleurs au ventre cessent.

De rage d’abord, elle se met à écrire. Elle continue ensuite pour sa famille et pour tous les autres, afin de dédramatiser la dépression et le burn out, maladies de notre génération. Par ce livre, elle souhaite aider les proches des malades à les comprendre, à leur montrer qu’il existe des solutions, et que le soleil est seulement caché derrière les nuages.

 

Vague à l’âme : quand un accident du travail remet tout en cause

Madeleine, aide-soignante, est victime d’un accident du travail, comme malheureusement nombre de ses collègues. Handicapée, isolée, peu à peu envahie par l’ennui et le sentiment d’inutilité, elle ne peut s’empêcher de ressasser. Mais forte de ses expériences de soignante et de son inébranlable foi en la vie, elle s’efforce de trouver les ressources pour reprendre goût au quotidien et faire définitivement taire le frelon dans sa tête. Après Vous, l’amie, qui relatait la naissance d’une amitié aussi inattendue qu’essentielle, Madeleine Petitpantalon nous montre une fois encore combien la vie est précieuse.

 

 

 

 

Un cri silencieux : un cri lancé par l’auteure après une enfance difficile

Comment se remettre d’une enfance que l’on n’a jamais eue ? Comment s’en remettre alors que l’on n’a connu que des blessures ?
Cindy raconte l’enfer dans lequel on l’a bercée et l’enfance qu’on lui a volée… Elle évoque également la souffrance d’avoir eu à choisir entre donner la vie à son enfant ou la lui enlever. « Le choix d’une maison ou d’une voiture n’est rien comparé au choix de donner ou non la vie ».
Elle devra cependant prendre la décision la plus difficile de son existence.
Elle raconte ainsi comment elle a fait de son passé sa force ; et ce malgré les difficultés pour se débarrasser de l’image qu’on lui a laissée d’elle-même.
Mais ce n’est pas que le passé qui fait notre personnalité.

 

 

La souffranceShootingstar : une ado mal dans sa peau, parce que différente de par son handicap.

Mélanie, onze ans et demi, est en conflit permanent avec son entourage. Elle voudrait fuir sa vie de tous les jours, sa maison, son école, ses parents. Un soir d’automne, après une dispute familiale plus violente que les autres, elle se réfugie dans sa chambre et lance, désespérée, un appel aux milliards d’étoiles qui parsèment le ciel, et poste dans la foulée une annonce sur Internet demandant avec insistance que quelqu’un lui vienne en aide, même s’il doit pour cela traverser la galaxie.
Or, dans l’hyperespace, un être fabuleux de passage dans les parages de la Terre, Saen, plus connu dans d’autres univers sous le nom de Shootingstar, capte son appel et décide de la rejoindre.
Bien loin de l’ange que l’esprit de la fillette a idéalisé et appelé de toutes ses forces, l’être qui se manifeste à elle de façon éclatante se montre farouche, impertinent et insoumis. Cependant, sa bienveillance, son omniprésence et ses surprenants pouvoirs finiront par transformer la vie de la fillette qui avait perdu ses repères.
Une amitié au départ improbable va alors se tisser entre Mélanie et le singulier personnage qui vont tous deux apprendre à se connaître, à s’apprivoiser, et finalement coopéreront pour lutter contre d’étranges créatures maléfiques qui, contrairement à ce qu’elles prétendent, ne leur veulent pas que du bien…

 

EliseLa souffrance : la souffrance et l’incompréhension quand on est séquestré.

Quatre murs ont été érigés autour d’elle par son geôlier. Tout ce que connaît Élise, elle le tire de ses nombreuses lectures.
Et l’épilogue est proche.
Voici l’histoire de celle qui voyageait avec les mots.

 

 

 

La souffrance  Une vie après l’autre : la souffrance de la perte d’un enfant

Hélène mène une vie calme, bien rangée entre sa fille Pauline et sa boutique.
Un jour, un accident de voiture va bouleverser son quotidien ainsi que sa confiance en elle. Grâce à Damien, le pédiatre de sa fille, elle arrivera à maîtriser sa colère et sa culpabilité qui la poursuivront tout au long du récit.
L’histoire nous guide à travers les épreuves imposées par la perte d’un enfant, et ce tout en sachant qu’il est concevable de prendre le dessus après tel drame.

 

 

 

La souffrance  Des nouvelles de la vie : différentes nouvelles qui abordent des souffrances.

Des nouvelles de la vie est un recueil de nouvelles écrites et parues en 2017. Vous y trouverez Le trottoir, Le chef d’oeuvre et Un 24 décembre en Floride. Neuf histoires de vies qui vous feront voyager, vous transporteront dans des univers tous différents. Leur point commun est qu’elles sont inspirées de sujets de société qui sont peu abordés en fiction. Elles questionnent toutes, elles sont aussi porteuses d’espoir, certaines sont un point suspendu.

 

 

 

 

La souffrance Fratrilogie entrelacée : la souffrance due aux secrets de famille.

Des histoires sont capables de bouleverser le cœur,
un peu comme la vie et ses sautes d’humeur.
Un jour, elle est pourrie,
un autre, elle est jolie
mais par monts et par mers,
elle vaut le coup de s’y faire.

 

 

 A l’abri de la différence tome 2 : la souffrance due au harcèlement scolaire

Après la guerre et les tourments, Maïa décide de suivre Yan et Émilie dans une nouvelle vie, un nouveau pays. Elle pourrait espérer trouver enfin la sérénité.

Pourtant, une nouvelle épreuve va miner son quotidien : la violence psychologique qu’elle endure à l’école.

Va-t-elle avoir la force de se battre pour s’en sortir ou va-t-elle juste accepter son sort avec honte et survivre dans un milieu qui lui est hostile ?

 

16 réflexions au sujet de « La souffrance, le mal-être dans l’auto-édition »

  1. Des bouquins pas gai gai gai… mais la vie est ainsi faite aussi, un peu, beaucoup de douleurs, morales ou physiques… merci, jill

  2. Jolie sélection malgré la dureté de son thème.

  3. Une question aux auteurs concernés : est-ce que cela permet de soulager sa souffrance que de pouvoir l’exprimer ?
    La souffrance que l’on tait, ronge, mine et envahi l’espace. Alors j’espère que si on peut la dire, la décrire, elle s’éloigne, se tait peut être.

    1. Pour répondre à ta question que je trouve très pertinente , je me permets de dire un grand OUI Pestoune l’écriture vide le cabochon , l’écriture de ce frelon m’a permise de continuer et surtout de trouver des mots aux maux . Bonne journée Mado

      1. Merci Mado d’avoir répondu à ma question. Bonne journée à toi aussi

  4. Une jolie sélection…
    Ecrire pour exprimer sa souffrance, son mal-être aide à l’adoucir…
    Biz

  5. La souffrance doit pouvoir s’exprimer d’une façon ou d’une autre si on veut en sortir.
    L’écriture est un bon moyen quelque soit la forme retenue : livre, poèmes, simple lettre qui ne sera jamais expédiée. Noircir les pages d’un cahier, utiliser Word ou un autre moyen, permet souvent de percer l’abcès. On se voit alors comme dans une glace. C’est un rendez-vous important avec soi-même.

  6. Pouvoir parler de soi fait du bien pour s’en sortir bonne journée ma Sévy bisous

  7. La souffrance se partage difficilement car on a peur de ne pas être compris. Il ne faut jamais obliger quelqu’un qui souffre de raconter sa souffrance. Ce ne serait pas lui rendre service. L’écrit peut être un bon moyen de s’évader de soi pour retrouver la paix intérieure qui s’est un jour envolée.

  8. Un panel intéressant pour un sujet difficile il est vrai mais mettre des mots sur ses maux soulage .
    Bises

  9. Un cri silencieux me parle parce que je pourrais aussi dire des cris silencieux mais heureusement avec le temps, l’acceptation viens…du moins je pense………………quoique?
    Quand aux autres c’est de joli choix je lirais volontiers L’innocence d’un enfant et bien sûr celui dont je parle ici….Bisoussssss

  10. L’écrire, ce mal, apporte un baume au ♥ !!! Bon samedi Séverine ! Amitiés♥

  11. Oups ! Un sujet porteur… mais bon, je préfère pour ma part ne pas en parler.

  12. Coucou Séverine,
    Une sélection intéressante, merci pour ce partage.
    Ne recevant toujours pas tes newsletters, et te sachant en vacances,je viens de rattraper mon retard ce matin sur tes billets publiés. De belles productions.
    Je suis toujours dans mon île, et attendons le soleil qui est annoncé revenir pour le début de la semaine. Hier soir, il pleuvait et je crains fort qu’il en soit de même pour aujourd’hui et demain.
    Bises et bon weekend

  13. Peut-être qu’écrire est une manière de soulager son cœur , son mal être et de montrer aux autres que parfois on souffre en silence !
    L’arrière saison se fait déjà sentir par chez nous car la météo passe au gris prématurément .
    Je vais me réinscrire à ta news car je ne la reçois plus ?
    Je te souhaite un agréable dimanche Sevy, avec mes amicales pensées ch’tis !
    Nicole

  14. […] Une écriture simple et agréable comme je les aime. N’hésitez pas à le découvrir. Il rejoindra l’été prochain mon réseau de lectures d’auto-édition sur la souffrance. […]

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